mars 2013
Cette élégie fut composée à la mémoire de Maina Pichard, épouse de Tristan, décédée le 11 mars 2013, pour être lue lors de ses obsèques. Il s'agit d'une allégorie bretonne du deuil, mais ne se refermant pas sur le désespoir. |
Pour la version audio, j'ai pris la liberté de rajouter le cantique traditionnel breton : « ar Baradoz » (le Paradis), très souvent chanté aux messes d'enterrement (avec la voix de Liza Pichard), même si la cérémonie fut strictement civile. La traduction du premier quatrain (ici chanté sans paroles) est : |